Louis Sclavis, Henri Texier, Aldo Romano, Annobon, 2015

Pour sa dernière proposition le billet fait un lien avec un continent qui lui est très cher.

Comme le dit Brassens « des pays imbéciles où jamais il ne pleut » dur d’imaginer un paysage liquide dans ces conditions. Et pourtant la batterie d’Aldo Romano, comme la pluie, vient rythmer magnifiquement des constructions, des images de ces ailleurs fictifs ou réels.

Ce magnifique trio que forment Texier, Sclavis, Romano fait place au paysage intime.

Bel été.

Merci.

HSV

 

 

 

 

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s